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Lady Macbeth
† Date d'inscription : 29/12/2008 † NBR MSG : 26 † Sexe : Féminin
† Citation : La sorcellerie est la maîtresse de l'apparence. † Amant(e) / Âme-Soeur : Tellement de personne... tellement peu de temps... † Titre : Reine des Sorciers
| Sujet: Devenir Partenaire Mer 30 Déc - 16:02 | |
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| | | Luna Invité
| Sujet: Re: Devenir Partenaire Jeu 21 Jan - 14:03 | |
| Bonjour ou bonsoir ! ~ - Nom du forum : Ultima Alluvione
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http://ultimaalluvione.forumactif.org/ - Thème : RPG Fantastique ?
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Tout allait bien. La vie suivait son cours ; on naissait, on mourrait. La banalité collait à la peau de chacun, comme un virus invisible. Et peut-être qu’au fond, tout le monde désirait que quelque chose arrive. Pas une guerre, ni une révolte. Quelque chose d’original. La fin du monde. Et elle eut lieu, un jour, sans crier gare, une belle nuit de 1er Octobre, lorsque les feuilles tombaient légèrement, rougissantes, parant le monde d’un lourd manteau carmin, un peu rigide. La fin du monde eut lieu. Pourtant, cette nuit-là, on ne vit rien. Le noir resta total ; pas de soleil, ni de lumière. Juste une immense lune rouge. Et cette couleur sang dura toute une journée. Guerres, Trahisons, Tumultes, tout se mit en pause. Le monde s’écroula ce jour-là, le 2 Octobre 2010, alors que deux êtres venaient de naitre. Sous une sanglante pluie.
Quinze ans plus tard.
« Le savais-tu ? Il parait que si tu formules ton vœu une nuit de pleine lune, il se réalisera à coup sûr. La Lune Rouge le promet ! »
La Lune Rouge qui n’est apparue qu’une fois, il y a si longtemps. Que vous l’ayez vue ou pas, ça importe peu. Vous n’y croyez qu’à moitié, parce que ce n’est pas la première légende qu’on vous raconte. Mais vous avez un vœu ! Un but à accomplir envers et contre tous ! Quelque chose qui vous étouffe, qui porte chacun de vos pas. Et au bord de votre fenêtre, la nuit où la lune découvre sa ronde beauté, vous parlez. Confession Ultime. Le début du Pacte, quand les mots vagabondent. Une poussière qui tombe, qui s’écroule devant vous, qui entre dans votre corps. Allez-vous acceptez l’échange ? C’est irrémédiable. On vous promet l’obéissance, le pliement de la force. Et surtout, on vous promet la réalisation de votre vœu, et ce quelques soient les moyens utilisés. Et contre quoi ? De petites contreparties pour certains, l’obtention de l’âme à la fin pour d’autres. Ça vous parait superflu, à vous qui êtes aveuglé par la douleur. Et le baiser vous lie, déjà à cette silhouette, cet être venu d’une autre lune. Le Pacte est passé. Pour l’éternité.
Les scientifiques cherchent et ne trouvent pas. Les sectes s’approprient cette Lune que les gens craignent. La Police ne connaît toujours pas l’existence des Pactisants et encore moins la population suffisamment effrayée. Il n’y a que les branches spéciales des forces de l’ordre qui essayent de les battre. Et ceux qu’on réussit à attraper, les petits débutants faibles, se retrouvent enfermés à l’Impianto. L’Usine. Une boite où vous serez constamment observé et étudié par des scientifiques. Quel est le secret de la Lune Rouge ? Quel est le but de ceux qu’on nomme Stella (Etoile), donneurs de pouvoirs ? Quel est le sens de l’existence des Pactisants.
Seules les Elues le savent. Elles le savent même parfaitement, elles qui se battent pour le pouvoir Ultime, pour la gouvernance d’un nouveau monde. Un combat pour celle qui sera la Reine. Les pions sont là et le Roi se tient majestueusement, du haut de son mépris. Dieu. Le Nouveau Déluge qui arrive, le dernier jugement avant la fin ou le début. Même les Pactisants n’y pensent guère. L’important, c’est les Rêves !
Or, des groupes sont nés. Opposition, résistances. Meurtres et massacres. Sang et larmes les Elus. Les Démons. La Renaissance de l’Ange Déchu. De Lucifer qui renait de ses cendres, emportant avec lui vos désirs et vos rêves. Vous.
Saurez-vous vous accrocher à vos vœux ?
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En espérant que ma demande soit acceptée <3 |
| | | Alice Invité
| Sujet: Re: Devenir Partenaire Dim 24 Jan - 15:35 | |
| Bonsoir =) - Nom du forum : Alice's Madness.
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Alice's Madness Forum RPG.
« Bonjour Alice. Alors, tu as bien dormis dans ta nouvelle chambre ? » La jeune enfant ne répondait pas. Elle regardait par la fenêtre comme si elle y cherchait une réponse, mais elle ne cherchait absolument rien ; elle attendait simplement. Le regard perdu au loin, l’enfant fixait inlassablement les jardins. « Tu es allé voir le parc ? J’ai entendu dire que tu aimais beaucoup les fleurs. » Il avait beau insister elle ne daignait pas répondre, presque comme à chacune de ses questions depuis qu’il s’entretenait quotidiennement avec elle. De toute façon les seules réponses qu’il pouvait obtenir d'elle étaient pour le moins insensées. C’est à peine si la fillette tourna la tête pour apercevoir le visage de son interlocuteur ; de toute façon elle l’avait déjà vu, maintes et maintes fois… « Tu n’aime pas les jardins ? » Il n’attendait pas de réponse de sa part, au lieu de ça il s’apprêtait à contempler son silence. Et pourtant… « Non mais l’autre Alice les aime beaucoup. »
« L’autre Alice ? Elle est ici ? »
« Dans ma tête, elle me parle parfois. J’ai fait un rêve cette nuit et je l’ai vu. »
« Que faisait-elle ? »
« Elle était dans un miroir. Elle m’a dit de la rejoindre alors je me suis approché et le miroir m’a avalé. Au départ j’ai cru qu’il s’agissait de mon reflet mais ce n’était pas moi, c’était Alice, l’autre Alice. Je l’ai suivi et elle m’a montré l'autre monde. »
« L’autre monde... ? A quoi ressemblait-il ? »
Pour toute réponse elle lui tendit un un livre que jusqu'à présent elle avait gardée tout contre elle comme s'il lui était plus cher encore que sa propre vie. Et lorsque l'homme s'en saissit, bien que celui ci ne le remarqua absolument pas, elle fremit. Il lu à haute voix : "Alice au Pays des Merveilles". L'enfant, qui, l'espace d'un instant, était retournée à son mutisme habituel le dévisagea étrangement et lui dit en souriant : « Un jour je vous le montrerai, nous le montrerons à tout le monde Alice et moi ! » « Oui, bien sûr… Et à quoi ressemble-t-elle, cette Alice ? »
« Elle est très belle. Elle est blonde comme un ange. Sa peau est blanche comme le lait. Elle a de beaux yeux bleus toujours grands ouverts. Ils sont un peu vides mais ils paraissent tellement bienveillants. Elle porte une robe bleue clair, très propre et soignée. Elle sourit tout le temps, comme si elle était heureuse. Elle ressemble à une poupée. » L'homme contemplait alors la couverture du livre, son regard s'attarda sur une fillette blonde ressemblait trait pour trait à la description qu'il était ent train d'entendre. Rien ne semblait pouvoir endiguer le flot de paroles de la petite fille. Sa bouche s’ouvrait, se refermait en cadence, soumise à un rythme effréné. L’enfant marqua une courte pause comme si elle réfléchissait au mot exact. « À une marionnette. » La fillette se remit à jouer tranquillement avec l’un des stylos qu’elle avait emprunté sur le bureau de l’homme. Elle ne le regardait plus. « A une marionnette… ? Humm, intéressant. » Une écriture soignée s’inscrivait à toute vitesse sur le calepin, notant dans les moindres détails les paroles de la petite fille qui regardait à nouveau les yeux penchés sur le papier du médecin psychiatre qui n’avait jamais autant vu parler l’enfant. Puis, celui-ci se redressa et aperçu son regard fixe. « Qui tire les ficelles d’Alice ? » Demanda t-il posément. Le regard de la petite fille s’agrandit étrangement. « Personne. » La voix se fit dure, presque autoritaire. L’homme retira ses lunettes pour mieux apercevoir le visage sale à la peau mate de l’enfant. Il chercha vainement les yeux sombres maintenant cachés par sa frange désordonnée. L’homme nota : Schizophrénie avancée. « Vraiment ? » Demanda-t-il l’air vaguement préoccupé. Comme soudainement prise de folie, la petite planta le crayon avec lequel elle jouait quelques minutes auparavant dans la main du psychiatre, la traversant… Et, comme ni prêtant plus attention, elle tourna son regard vers la fenêtre, vers les jardins. « Infirmier ! Infirmier ! » Cria le médecin en tenant sa main ensanglantée. Un homme en blouse blanche entra dans la pièce. Tout ce passa très vite, la petite fut ramenée dans sa chambre et on en parla plus... Pauvre Alice, Loin du pays des merveilles, Princesse cloîtrée dans sa propre démence. La petite Alice avait beau être folle le monde qui prenait vit dans ses rêves était aussi réel que sa démence. Le psychiatre s’endormie, bien loin de l’asile et des cris stridents de ses habitants, emportant avec lui le souvenir terrifiant de l’étrange fillette, s’apprêtant, sans le savoir, à entrer dans son monde pour en palper la vérité…
Il faisait nuit dans les rêves du médecin. Une nuit noire, opaque et sans étoiles. Pas un seul trait de lumière ne venait écorcher l’obscurité de ses songes. Dans ce néant un rire vint résonner. Un rire enfantin, comme un écho dans l’immensité, comme venant de nulle part et de partout à la fois. L’homme en chercha la provenance, ne trouva qu’un grand miroir, posé là au milieu du vide et qui l’attendait, qui lui avait toujours était destiné. Il s’en approcha lentement. Et c’est là qu’il aperçut. Les boucles blondes et le sourire figé aux lèvres, comme celui d’une poupée…
« A… Alice… ? » Bredouilla t-il avec peine, soudainement effrayé. L’enfant lui répondit avec un sourire : « Puisque connais la réponse, pourquoi poser la question ? » « Qu’est ce que… Qu’est ce que tu… ? » Sans le quitter des yeux un instant elle s’approcha, ou tout du moins son reflet, seule présence d’elle en ces lieux, approcha un peu plus de la surface du miroir. « Ce que je fais là ? M’enfin c’est évident ! Je suis venu te chercher mon lapin… Quoi, tu as déjà oublié ? Je te l’ai promis. Je t’ai dis que je te montrerais le pays des merveilles… »
Oui, il se souvenait. Comment oublier le visage de la petite fillette schizophrène dont il s’entretenait quotidiennement de la démence ? Impossible d’oublier pareil regard ! Impossible aussi, en voyant celui de la petite fille au visage candide et à l’air angélique qui se tenait devant lui, de douter de leur ressemblance ; de leur identité commune… « Viens mon lapin, approche, n’est pas peur de moi. » Une voix feutrée, douce et tendre. Il s’approcha, lui obéissant sagement. Il entrevu alors de plus près le miroir, et aperçu l’animal caché derrière les jambes frêles de l’enfant et qui s’agrippait désespérément à sa belle robe bleue. Un lapin, pauvre animal effrayé par la laideur de son propre reflet. Son reflet ? Oui, le reflet de l'homme n'était autre qu'un lapin. On aurait put croire qu'une quelconque ressemblance ne pouvait éxister entre ces deux êtres, et pourtant l'homme était le lapin tout comme le lapin était l'homme ; ou tout du moins, chacun le deviendrait par la suite... Incrédule l’homme approcha encore, pour finalement tendre sa main vers le miroir, l’effleurer presque et… Elle passa au travers. Alice s’en saisît, s’y agrippant avec force elle l’entraina de l’autre côté… La réalité est bien loin maintenant, N’est plus qu’un songe auquel il doit renoncer. Maintenant il vit dans le pays des merveilles, Maintenant il est le lapin blanc…
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Beau forum en passant, j'adore votre bannière. |
| | | Sam' Invité
| Sujet: Re: Devenir Partenaire Mar 13 Avr - 19:21 | |
| Bonjour, j'espère que vous accepterez ce partenariat~ - Nom du forum : Mad Asylum
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[ http://mad-asylum.forumsactifs.com/forum.htm ] - Thème : RPG sur contexte original
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Tout se déroule en 1889... Mais en réalité, l'histoire remonte en 1827, à la naissance de Daniel Middleton, enfant vivant dans la noblesse, sous la protection de ses riches parents. Une vie dans le luxe aux Pays-de-Galles, qui dura une vingtaine d'années, tout a cessé à cause du suicide de son père. Ou bien le meurtre... Le mystère enrobait entièrement la mort du Lord Middleton... Le doute fit perdre la tête à la mère, qui devint complètement folle et paranoïaque. Pris de pitié, Daniel se servit d'une part de l'héritage de son paternel pour faire d'un des manoirs, qu'il possédait à Londres, un asile ; qu'il nommera alors Middleton Asylum.
Malgré de nombreux départs difficiles pour que l'hôpital s'installe définitivement, sa mère put mourir paisiblement en 1862, à l'abri du regard suspect des autres, et des tentatives de meurtres imaginaires. Les années suivantes, le nouveau Lord Middleton reçu beaucoup d'éloges à propos de son asile réconfortant et accueillant. Le nouveau Lord avouait qu'il était soutenu par Sammuel Ruthven, un majordome serviable qui l'avait accompagné juste après la mort de sa mère.
27 années passèrent, les cheveux de Daniel devenaient blancs, et son visage se creusait de rides. Bien qu'il ne pouvait plus faire confiance à ses jambes trop fragiles, il était fier de parcourir l'oeuvre qu'il avait réalisé. Son hôpital était apprécié, beaucoup de familles savaient que c'était un refuge pour les orphelins de la raison. Malheureusement, trop prit dans ses rêves et trop investit dans ses projets, Daniel se rendit compte lors de ses dernières années qu'il n'avait jamais eu l'occasion d'aimer, jamais eu l'occasion de fonder une famille comme les autres hommes. Il n'avait donc pas d'héritier. Daniel se confia alors à Sammuel. En 30 ans, ce dernier n'avait pas changé...
Après de longues discussions, ignorant les cris scandalisés et les visages ébahis, Sammuel, simple majordome, hérita des biens du Lord Middleton pour diriger désormais l'asile lui-même. Le nombre de patients baissa en chute libre après la mort de Daniel Middleton, les nobles et les bourgeois refusaient que l'hôpital soit mené par un ancien serviteur, et refusait de croire la décision de l'ancien directeur... L'asile n'était pourtant pas vide, des personnes y travaillaient toujours, certaines chambres étaient occupées... Cependant, en quelques mois, l'asile retrouva son succès d'antan ; une étrange maladie avait frappé un bon nombre de personnes, elles étaient comme possédées !
L'asile, toujours au nom de Middleton, n'était plus autant réconfortant qu'avant, mais toujours expérimenté. Les patients trouvaient un foyer coupé du monde extérieur, et le personnel était d'une grande originalité... Presque terrifiante. Alors, refuge pour les âmes égarées, ou lieu de rencontre entre les créatures les plus étranges qu'il puisse exister ?
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En espérant pouvoir vous ajouter parmi nos partenaires. À bientôt~ |
| | | July Invité
| Sujet: Re: Devenir Partenaire Lun 31 Mai - 19:23 | |
| Bonjour, je suis l'Admin de Ultima Alluvione, qui vous a demandé un partenariat en Janvier. Je considère qu'après 5 mois d'attente, je suis en droit d'annuler ma demande.
Votre logo est donc retiré de nos partenaires en attente. |
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| Sujet: Re: Devenir Partenaire | |
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