Daniel Hawkins

BELOVED IDENTITY ; DOESN’T EXIST ANYMORE.

• Nom : Hawkins
  
• Prénoms : Daniel
  
• Titre/Rang : Baron
  
• Âge : 33 ans
  
  • Date de naissance : 11 Janvier 1854

TELL ME A STORY, PLEASE

• Nationalité : Anglais, profondément Anglais
  
• Famille : De sa famille ne reste qu'un reliquat de sœur affecté et cruel, juste bonne à donner en substance aux cochons. Idiote, malvenue, c'est une peste ridicule, bien plus âgée que lui. Elle semble pourtant motivée par l'envie de ne jamais grandir et éternellement porter de jolies robes couleur de bonbon pourri.
  Parents décedés, certains soupçonnent l'assassinat. Pas Daniel. Lui en est juste certain. Il l'a vu. ainsi, il a hérité du titre précocement.

WHAT KIND OF FREAKY CREATURE ARE YOU ?

• Apparence Physique : Un soupçon de cabaret. Un air de musette. L'odeur de l'alcool fort et cher. Tout ça, et bien plus.. Cela ne créé pas toujours un ersatz de Dandy... Parfois ce genre d'atmosphère ne fait qu'engendrer des fous, des malades sans camisoles, portés avec la justice et la bonté.. Daniel respire, pue l'infection mentale. ses lunettes réussissent l'exploit d'être moins glauques que lui, et moins doubles, et moins vitreuses. Plus rondes néanmoins, et de maigreur égale. Leurs branches noires rappellent ses propres serres de corbeau, ses bras et ses jambes gainées de sombre devant l'éternel, achevés en haut par des crochets gantés toujours agités de tics, nombreux tics, ainsi que claquer des doigts, sans produire d'autre son que le chuintement cuir contre cuir. En bas, des bottines à boutons terreuses, masquées par le long pantalon un peu trop serré, qui remonte un peu trop sur le genou, dévoilant la chaussette et parfois le bout de la jambe glabre. ses vêtements, s'il sont à sa taille, semble toujours trop petits, car il s'y agite trop, sans naturel, blessé dans son amour propre par ses propres moqueries, celle de son corps qui ne lui obéit pas toujours.
  
  Certains diraient qu'il a du charisme. Ses lèvres sont après tout rosées, son nez est droit, et son visage, bien que maigre, est harmonieux. Jamais dans l'excès. Nez fin, pommettes présentes, mais pas trop hautes. Cheveux un peu longs, mais toujours tirés bien en arrière, et puis masqués d'une manière ou d'une autre. Un chapeau, la plupart du temps. Ou un lourd ruban d'homme qui joue les serpents fuligineux entre ses mèches un peu lourdes. Un peu trop disparates. Sa coiffure tient plus d'une volonté de fer que de la docilité de ses cheveux. C'est certain. Les yeux, quand ils ne sont pas juste floutés, grossis et multipliées par ses culs de bouteilles sont d'un noir parfait, lisse, sans expression. le regard, tout de même, tient plus du serpentin que du bovin. Une question de paupières, fines et relevées. Cet homme a des origines de l'est qu'il ignore, et qu'on ne lui envie pas.
  
  Sa voix est la seule vraie douceur dans ce portrait hachuré, tâché d'encre. très basse, froufrouteuse, c'est un velours ancien qui ne s'exprime pas assez souvent. Il est un peu râpeux sur les bords, mais conserve l'éclat du précieux et du cher, ce timbre. Les mots sont savourés comme des bonbons, chantés comme une musique inquiétante. Il ne rit jamais. Mais sourit souvent, avec une discrétion mesurée, cadencée. Ses manières, ses papillonnements ordinaires semblent à mille lieux des paroles qu'il prononce. Chaque mot, choisi avec soin, est porté par une diction parfaite.
  
  Et puis, pour parachever cette vision kaléidoscopique, voila les détails. Des bagues aux pouces. Une besace à l'épaule, éternelle, comme le manteau noir, comme la chemise, et comme la montre à gousset dont on est sûr qu'il ne la remonte jamais. Comme la marque de son démon, qu'on devine, qu'on ne connaît pas, qui est au creux de sa main et qui aiguillonne ses gestes. Un tic de plus. Les contractions musculaires involontaires déclenchent des sourires à ses lèvres aiguës, des haussement de sourcils impromptus, et des claquement de lèvres.
  
  Un crâne d'oiseau, avec le bec, pend à son cou, collier planté dans les orbites.
  
• Caractère : Il y eut un jour un abus d'alcool. Une gifle sur sa joue tendre de jeune homme agréable. Un meurtre. Des morts. tant de choses, au final.
  
  Et sa psyché s'est fissurée, ainsi qu'une surface de glace dans laquelle on plante un épieu. Tout était audible. Chaque craquellement délicat. Ils sont tous retrouvés dans le fond de ses yeux tellement.. tellement noirs. Noirs ainsi que son âme, en vérité. Daniel est du genre à faire peur aux enfants d'un regard. A tous les autres dès l'instant où il ouvre la bouche. Oh, il est charmant. Distingué. Il parle bien. Il cajole. Daniel aime bien les demoiselles aux chevilles si joliment tournées.. celles qui sont moins pudiques et qui se promènent plus souvent. celles qui acceptent parce qu'elles savent qu'il est riche. Celles là affectionnent Daniel. Aucune autre.
  Un lunatisme criant souffle entre ses oreilles. Lui font changer ses avis, ses méthodes, le sujet en cours. Tout renverser et partir ainsi rejoindre les filles, et les joueurs de dés dans leurs bars. Trouver refuge.
  L'autre refuge, c'est le scalpel. L'eviscération. ce qui est juste pur, ce qui n'est que sanglant. Le meurtre. Mais jamais... Jamais ainsi, jamais pour tuer. Juste parce qu'il le fallait. Parce que ce qu'il était un Rebut. Parce qu'elle fricotait avec les vampires. Parce que. La justification est facile. Cruelle. Rarement exacte. Daniel se fie à ses instincts primordiaux. Daniel est une bête aveugle sous un relent de distinction naphtaliné. Daniel ne marche pas bien, dans sa tête. Sans logique, surtout, sans logique. Au radar.
  Ses prédictions sont... Souvent justes. Il faut bien l'avouer. Il a le flair. Il a l'expérience. Jeune encore, très jeune.. Dans ce milieu où l'on bouffe les faibles et les innocents, seul la raison lui a été prélevée, et puis mangée par la fatalité.
  
  L'imaginer camisolé est le rêve de beaucoup de mères. L'imaginer se balancer au bout d'une corde, le fantasme de beaucoup d'amants. Maudits par un faux bras de justice, qui ne décelait une vérité que partielle. Peu connaissent de ce Puriste autre chose qu'une ombre noire, suivie d'une ombre verte. Et au final.. Chacun trouve quelque chose pour lui donner raison. les Puristes sont ainsi.
  
  Et celui là fait dire au gens que la populace n'a pas besoin de vampires. Qu'au final, ils sont moins pires.
  
  Quand son chapeau n'est pas ceint autour de son front, quand les lunettes rondes ont laissé place à des montures plus classiques et plus larges, alors il n'est plus le même homme. Courtisan malhabile, génie des sciences, amoureux d'astrologie, il arrive aux filles de lui fantasmer dessus. Il ne le sait pas. Elles ne veulent pas de son argent. Elles ne sont donc, certainement pas intéressées. Peut-être juste est-il pris en pitié. Psoriasis se moque de ses incapacités sociales. De ses tics de langage. Il a invoqué un démon à lui pour couvrir ses arrières aléatoires, pour justifier ses écarts de conduite. Pour s'adonner une nouvelle fois à la couleur fantasmatique de l'opium et du Whisky.
  
  Et ce sans crainte d'en mourir. Enfin pas dans l'immédiat.
  
• Aime : Daniel aime se laisser aller à lui-même. Boire, manger, et être cet animal larvé. Toucher les filles qu'il paie et leur raconter des histoires idiotes. Il aime regarder les étoiles, faire des bulles dans son bain, et retenir sa respiration jusqu'à suffoquer. Il aime l'Opium, l'alcool, il aime sortir la nuit, et le bruit de ses pas sur les pavés humides du London craintif. Il aime dessiner ses rêves macabres.
  
• Aime pas : Etre forcé, être moqué, tourné en dérision. Etre obligé d'aller quelque part, où il y a du monde, où la pièce est trop bien éclairé. Où l'on sert du punch avec de petites ombrelles. Il n'aime pas Psoriasis, qui est plus une épine dans le pied qu'une aide. Il n'aime pas les gens qui se tétanisent de peur quand l'heure du jugement est arrivé.

NOTHING ELSE TO HIDE ?

• Rêve, Ambition : Qu'en sait-il. les rêves appartiennent à ceux qui dorment la nuit.
  
• Cauchemar, Phobies :Les assemblées de gens qui rient. Les bouches, les dents. Les morsures.
  
• Fantasme : Son fantasme se réalise a chaque fois qu'un scalpel va à l'encontre d'une peau fine et suave. goûtée parfois au préalable.
  
• Pouvoir : Non.
  
• Utilisation de l'Avalon : Non.

AND WHAT ELSE ?

• Signes particuliers : N'en avez-vous pas assez eu avec ce que vous venez de lire ?
  
• Groupe : Purist
  
• Travail : Purist. Il a été médecin.!

IN REAL LIFE

• Pseudonyme : Reginleif
  
• Âge : 18 ans
  
• Comment avez vous connu le forum ? Par Pso'
  
• Comment trouvez vous l'intrigue du forum ? Je ne m'en souviens plus.
  
• Personnage sur l’avatar : Un personnage figurant Jack the Ripper, par Enayla.
  
• Notez votre présence sur 7 : Je n'sais pas. 5 ?

Code règlement :

Spoiler:

Bien le bonjour !

Avant toute correction, je te demandera de rajouter le code du règlement dans ta fiche ^^

Done.